Lignes et courbes.
Tours et détours.
Nous affinons progressivement un intérieur qui semble de plus en plus voué à être déménagé.
Pendant que l’enchanteur nous enchante et n’en fini surtout pas de décrypter, désosser et manipuler son monde, en oubliant pas de le saupoudrer de beaucoup de fantaisie et d’un soupçon de naïveté.

Et d’autres projets prennent forme. Des projets 2.0
Dans les contours de réunions.
Dans le profil d’une maman.
Tours et détours dans l’action et l’inaction.
Dans l’attente. Dans la préparation.
Espoirs et interrogations.
Rêves et attentes.

Alors que je me questionne souvent sur l’opportunité de prendre telle ou telle décision, le fait de savoir si j’ai vraiment ma place dans ce projet, et, généralement, la cohérence d’une décision de vie importante dans un parcours, je lis, sous la plus de Steve Jobs, dans un discours de 2005 :

You can’t connect the dots looking forward; you can only connect them looking backwards. So you have to trust that the dots will somehow connect in your future. You have to trust in something – your gut, destiny, life, karma, whatever.

Là où j’ai noté cette phrase j’en avais aussi noté une autre, de Louise Michel. Je la crois pensée pour des idées ou des contextes plus grands, mais elle a aussi sa place maintenant :

Il n’y a qu’à grandir les choses pour qu’elles sauvent au lieu de perdre

Marc