Pendant cette balade pour la première fois j’ai pleuré devant la tombe de quelqu’un que je ne connaissais pas.
Dans un coin un peu isolé, au milieu de tombes plutôt sombres et tristes il y en avait une qui semblait se battre. Il y avait plein d’objets, de dessins, de cailloux peints, un prénom écrit avec des petits cailloux en verre : c’était un gars de 21 ans.
Au milieu de tout ça il y avait une lettre de sa mère. Pas larmoyante, pas du genre « je ne m’en remettrai jamais ma vie est finie sans toi », juste une énorme baffe dans la gueule.
Pffffiiiooouuu…

Marc.